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Cahiers de doléances

Éteindre tous les téléphones portables le 10 septembre pour déstabiliser le système

La taxe Zucman, ou un équivalent doit passer ! Ce n’est pas possible que les 500 plus grandes fortunes payent 27% d’impôts là où nous on est à 45%. Ce n’est pas possible de vouloir régler la dette en faisant payer ceux qui n’ont rien.
On ne trouche pas à la sécurité sociale pour laquelle ON COTISE. RIEN NE NOUS EST DONNE !!
Retraite à 62 ans maximum (60 c’est encore mieux !)
Rétrablissez un véritable accès à notre chômage pour lequel ON COTISE AUSSI !

RESPECTEZ NOTRE DEVISE LIBERTE EGALITE FRATERNITE (surtout le dernier !)

Un pays qui va bien est un pays qui prend soin de ses adultes en devenir.
Il faut de toute urgence réformer l’éducation nationale.
Cela passe par tout un tas de changements :
 moins d’heures de cours pour les enfants ,un emploi du temps qui soit adapté à leur développement intellectuel et cognitif
 Des cours qui prennent en compte différents types de savoirs et qui puissent prôner l’apprentissage comme synonyme d’ouverture au monde
 du matériel et des salles de classes décentes et propres
 un personnel éducatif heureux ( salaire, reconnaissance..)
 des effectifs par classe réduits
 des cours d’éducation à la vie sexuelle et affective qui prennent en considération la communauté LGBTQIA+
.......... liste non exhaustive !
No pasarán !

 Mettre fin au lobbying ! Ce sont les grosses industries qui font nos lois, ça ne peut plus durer !!!!
 Encadrement des privilèges de nos hommes politiques, quand allons-nous prendre exemple sur les pays Nordiques ?
 Soutenir les agriculteurs qui souhaitent faire de l’agriculture raisonnée et durable (le changement climatique nous y contraindra tôt ou tard) !
 Arrêter l’hémorragie de la privatisation !
 Soutenir le secteur de la santé et de l’éducation. Arrêter de convertir en € le coût des soins prodigués à nos malades comme le font sans scrupules les gafas !

Nos droits (Déclaration des droits de l’Homme et du citoyen de 1789 (DDHC), ...), qui ont par l’article 16 DDHC primauté sur les autres dispositions du droit, ne doivent plus être violés :
 droit à la démocratie directe (article 6 DDHC),
 droit à ce que le but de chaque parti et donc des élus soit la conservation des droits (article 2 DDHC) ,
 droit à un niveau de vie suffisant,
 droit aux meilleurs soins et donc droit aux soins gratuits,
 droit à une vraie justice (qui par définition consiste à faire respecter les droits) dans laquelle les juges partiaux violants nos droits sont effectivement punis (article 16 DDHC),
 droit à la TVA à taux zéro sur les produits de première nécessité (article 13 DDHC),
 droit à une imposition en raison arithmétique/géométrique des revenus (article 13 DDHC),
...

Je les ai dites en réponse, exprimées pour partie à "pourquoi". Et oui, du référendum populaire qui ne serve pas de papier hygiénique et de simulacre à fin de com à celleux, pour celleux qui occupent les lieux alors qu’ils ne chient que du fric !
Gratuité des TC selon les revenus des gens ; ainsi qu’une tarification selon les revenus réels.
Freiner la production des saloperies inutiles, polluantes et dangereuses.
Dégagisme dans la concurrence des marques !
De l’argent pour l’hôpital, de la gestion qui ne soient pas celle de Les Fossoyeurs ! Sortir de la rentabilité ! Ehpad publics contre les privatisations du secteur.
Idem pour les autres secteurs du soin ; idem pour ceux de l’éducation, de l’accompagnement des jeunes (et des adultes qui souhaitent reprendre l’étude).
Rouvrir des classes, pas les fermer ; révision du salaire des enseignant.es (revalorisation, un mot à entendre au sens fort).
Toujours pour l’école : redistribuer sur le budget de l’État davantage de moyens d’enseignements et d’accompagnements des élèves (infirmier.ières, assistant.es sociales, AESH, psychologues, etc.).
Et c’est pas tout.

1
Nous proposons qu’on ajoute au Code pénal une définition du viol sur mineur. 
2
Nous proposons de faire coïncider l’âge du consentement et la majorité sexuelle : 15 ans.
En deçà de cet âge, tout acte sexuel entre un adulte et un ou une mineure sera considéré comme un viol.
L’âge du consentement sera porté à 18 ans, en cas d’inceste et de handicap. 
3
Nous proposons la reconnaissance officielle de l’amnésie traumatique, et l’inscription de son étude dans les facultés de médecine et la formation des enquêteurs et des magistrats. 
4
Nous proposons le renforcement du « devoir de signalement ».
Nous préconisons le lancement d’une campagne nationale pour son rappel.
Nous demandons des sanctions contre les témoins de violences faites aux mineurs qui ne les signalent pas. 
5
Nous proposons la création d’un fichier national de toutes les familles suivies par l’aide sociale à l’enfance et consultable, sous le contrôle de la CNIL, par les services sociaux, et les services de police et de gendarmerie.
6
Nous proposons que les familles d’accueil soient visitées tous les ans (et non pas tous les 26 ans, comme actuellement !) pour qu’un suivi réel de leurs capacités à accueillir des enfants dans de bonnes conditions soit effectué.
Nous proposons que les visites faites par les services sociaux auprès des familles suivies le soient à l’improviste et non sur rendez-vous, afin d’éviter les « mises en scène »... De la même façon, nous proposons que la présence effective de l’enfant soit désormais obligatoire lors des visites. 
7
Nous proposons de rendre obligatoire la consultation du fichier FIJAIS (Fichier judiciaire automatisé des auteurs d’infractions sexuelles ou violentes) par toutes les institutions publiques ou privées, avant toute embauche. Elles deviendront responsables pénalement en cas de non-consultation de ce fichier. 
8
Nous proposons d’étendre à tout délinquant sexuel l’inscription au fichier FIJAIS quelle que soit sa condamnation (consultation d’images pédoporno, sursis, prison ferme...) et pas seulement, comme actuellement, aux personnes condamnées à plus de 5 ans.

Nous demandons qu’aucun mineur délinquant sexuel (ça existe !) ne soit mis en contact dans les foyers d’accueil avec d’autres enfants.
9
Nous proposons de généraliser la prise en charge de l’aide médicopsychologique(EMDR... etc.) indispensable aux victimes. 
10
À l’instar de la Sécurité routière, devenue cause nationale en 1972, nous proposons la création d’une Commission nationale de sécurité sexuelle des mineurs. 
11
La France doit impérativement œuvrer à l’harmonisation européenne et mondiale des lois pour lutter contre la cyberpédocriminalité. Internet est global  : les mêmes lois doivent s’y appliquer à tous.
12
Nous proposons que tous les fournisseurs d’accès qui refusent de collaborer aux enquêtes liées à la pédocriminalité soient sanctionnés par de lourdes amendes. 
13
Nous proposons le lancement d’une vaste campagne d’information nationale à destination des mineurs sur les dangers de l’internet, non seulement à la télévision mais surtout sur les réseaux sociaux. 
14
Nous proposons la création d’une cellule de type Pharos, mais uniquement dédiée à la pédocriminalité, dotée de moyens technologiques et humains suffisants. Nous proposons que toute personne qui détient, consomme, distribue du matériel / des images de violences sexuelles sur mineurs soit désormais fichée.

Nous proposons que la durée de conservation de l’ensemble des données, preuves et éléments informatiques liés à la pédocriminalité soient portée à 30 ans.

Nous proposons que les enquêteurs bénéficient, dans leur formation continue, des outils d’enquêtes informatiques les plus perfectionnés, à l’égal de ceux employés dans les pays anglo-saxons. Nous préconisons une collaboration des services de police avec ces groupes, dans un cadre défini.

Enfin, il apparaît qu’un réel dialogue doit s’ouvrir entre forces de l’ordre et associations pour que toutes ces affaires soient portées en justice, afin que même la voix des victimes « non identifiées » soit portée. 
15
Nous proposons l’imprescriptibilité des crimes sexuels.
Refusons que les turpitudes sexuelles des puissants soient gérées comme des moyens de pressions extra-judiciaires.
16
Nous proposons l’inversion de la charge de la preuve, dans le cas des jugements de viol sur mineur : face à la justice, ce doit être au prédateur présumé d’apporter la preuve de son innocence. 
17
Nous proposons le réexamen systématique de l’ensemble des dossiers touchant à la pédocriminalité traités par des professionnels (magistrats, policiers, travailleurs sociaux...) condamnés pour des crimes et des délits sexuels. 
18
Nous proposons un alourdissement conséquent des peines pour ceux qui couvrent ou ferment les yeux sur les agissements pédocriminels « au nom du système ». 
19
Nous proposons la création de structures d’accueil dédiées aux pédosexuels abstinents, et le financement de recherches médicales pour aboutir à un véritable suivi des pédocriminels. 
20
Nous proposons une formation spécifique généralisée et continue des policiers, des travailleurs sociaux et des magistrats sur le thème de la pédocriminalité. 
21
Aujourd’hui, nous proposons de repenser l’éducation sexuelle à l’école. Laisser aux sites pornos la charge d’expliquer le sexe aux enfants, est irresponsable. On en est pourtant là. Et sans attendre, nous vous proposons de télécharger le manuel de protection à destination des enfants, fruit de trois ans de travail d’experts et de psys réunis par IED (Innocencne en Danger). 
22
Nous demandons que l’étude des violences sexuelles soient intégrées dans le cursus de formation des médecins, des magistrats, des policiers... 
23
Nous demandons la réhabilitation de la centaine de médecins sanctionnés par le Conseil de l’Ordre, à la suite de signalements d’enfants victimes de violences sexuelles. Nous demandons une enquête nationale de l’IGASS sur le non-fonctionnement des structures médicales dans ce domaine et (29) le lancement d’une campagne nationale pour rappeler que la loi impose un devoir de signalement. 
24
Nous proposons le financement d’études multidisciplinaires sur le phénomène pédocriminel et son coût social. 
25
Nous proposons donc la création, en France, d’une Commission nationale, pluridisciplinaire et permanente, indépendante des pouvoirs constitués.
Elle sera animée par des spécialistes issus du monde associatif, judiciaire, médical, policier, des professionnels de l’enfance en danger.

Idées personnelles :
décentralisation, autonomie agraire, revitalisation des communautés locales, réduction de l’emprise technocratique et financière. Fin de parcoursup, concours d’entrée dans les établissements supérieurs, liberté d’instruction par l’école à la maison, liberté d’expression totale car un discours dangeureux et interdit ne peut être combattu effacement sans débat, établir une démocratie directe par le peuple pour le peuple, établir dans chaque département des chambres de représentants, enseigner les langues régionales dès la primaire, dédier 1 journée par semaine scolaire à la nature et son étude, alléger les charges salariales, supprimer les aides sociales des délinquants récidivistes mineurs compris, augmenter les effectifs et les salaires dans les secteurs sous pression, soumettre au vote populaire les lois majeures, interdire l’usage du 49.3, dissoudre les partis politiques et appliquer les mesures proposées par Simone Weil dans sa Note sur la suppression générale des partis politiques à savoir : 1. Cadre institutionnel

Dissolution juridique des partis politiques comme personnes morales.

Interdiction du financement, du lobbying et de la propagande organisés par des structures partisanes.

2. Élections et représentation

Candidats présentés à titre individuel, sur la base d’un programme limité et clair.

Obligation de mandat impératif : l’élu est lié à son programme initial, révocable s’il trahit ses engagements.

Introduction du référendum populaire pour certaines décisions majeures, afin de limiter la capture du pouvoir par des réseaux.

3. Vie civique et délibération

Création de assemblées délibératives locales (communes, métiers, associations) pour produire des motions et propositions de loi.

Les représentants nationaux ne peuvent être que délégués de communautés réelles, et non de partis abstraits.

4. Pluralité d’expression

Liberté totale d’association d’idées, de clubs de réflexion, de revues — mais sans possibilité de conquête de pouvoir en bloc.

Distinction nette entre association d’étude (légitime) et machine électorale (interdite).

Ce n’est qu’un premier jet de réflexion et j’invite toute personne intéressée à me contacter primalcry@proton.me

L’Etat n’est plus au service des gens. c’est une machine bureaucratique de broyage et de surveillance en cours de totalitarisation.... Je souhaite un système de votation où les citoyens pourraient demander des référendums, le retour aux fonctions régaliennes, la suppression des inflations de commissions, d’agences étatiques qui font doublons. Faire faire un audit des postes par des GENS QUALIFIES (comptables, économistes, matheux...) la suppression de toutes les retraites spéciales, les privilèges des nouveaux aristocrates, une meilleure gestion pour un meilleur partage.... je me sens comme un pion sans importance et sans voix dans ce monde devenu fou ! Mon vote ne sert à rien, mon opinion ne sert à rien.... Je suis découragée..

Il faut que la France soit à la hauteur de ces valeurs et de son histoire. Nous ne pouvons pas abandonner les jeunes, les enfants, les seniors. Il faut redonner des valeurs et de l’espoir à la nation entière qui sombre dans l’agressivité, dans l’abandon.

taxer les ultra riches comme ils le devraient. Rétablir l’ISF.
Créer une vraie démocratie en transformant le Sénat en Sénat Citoyen composé de 300 personnes tirées au sort pour des périodes de 2 ans et demi, et qui viendrait censurer ou approuver les décisions de l’Assemblée Nationale, elle toujours élue (mais à la proportionnelle),
Ainsi le peuple aura vraiment son mot à dire, il n’y aura plus de biais et de filtre de représentation créée par le système électoral. Les pauvres, les femmes, etc seront ainsi fidèlement représentés !! le tirage au sort est la seule manière d’avoir un panel fidèle au peuple.
Et instaurer le RIC