Accueil > Doléances > Je ne supporte plus la destruc...
Je ne supporte plus la destruction de :
– la démocratie (49.3, éléction législative suivie d’un mépris total des résultats, passage en force de la loi Duplomb)
– la diversité des opinions et de la liberté d’expression.
*On a une extrême droitisation des discours et des mesures ( ex : submersion migratoire, Retailleau...) que l’on retrouve du macronisme aux LR ce qui uniformise les pensées à cause de cette porosité.
*Les grands médias classiques sont de plus en plus muselés ( Meurice, Anne Sophie Lapix) et ne peuvent plus interroger de manière libre ou faire de l’humour dénonciateur. Le traitement de l’information est bien souvent superficiel voire biaisé. Les grands organes de presse ne sont indépendants.
– de l’environnement
*loi du Duplomb qui promeut une agriculture destructrice et qui n’enrichit que les tenants de l’agro industrie tout en démolissant toujours les vivants
* je suis scandalisée qu’ aucune mesure écologique n’ait vu le jour depuis la convention citoyenne dont les propositions ont été aseptisées voire annihilées. Cette plongera la majorité des espèces encore en vie (dont la nôtre) dans l’extinction de masse
*je suis en colère et inquiète qu’aucune stratégie ne soit élaborée ou en cours d’élaboration pour protéger les populations contre les effets du changement climatique déjà présents. Les populations les plus pauvres et les plus fragiles sont laissées à l’abandon.
– des services publiques (école, hôpital, justice, police etc) à l’agonie et sous le point d’être à nouveau amputés de moyens
– de l’éthique : pantouflage, traffic d’influence, utilisation de boucs émissaires (immigrés, pauvres qui ne font rien pour s’en sortir)
– des conditions de vie dignes pour tous : les inégalités sociales s’accroissent encore et toujours plus vite, aucune mesure pour aller prélever les plus aisés, de l’argent publique est par contre donné aux entreprises sans contrepartie ...
– la pensée collective : on préfère renvoyer à la responsabilité individuelle au lieu de travailler collectivement à garantir à tous de jouir de ses besoins et droits essentiels
Enfin, on continue à nous pousser à rechercher de plus en plus de croissance pour que les plus riches continuent à s’engraisser, coûte que coûte (socialement, environnementalement, éthiquement), alors qu’il est grand temps de se fixer des limites ( cf la théorie du donut) .





