La destruction des fondements

La destruction des fondements de notre vie sur terre par une idéologie productiviste qui transfère tous le coûts environnementaux et sociaux de son extraction de richesses sur la biosphère et les générations futures.
Notre civilisation s’est construite durant une période de 280 ppm de CO2 dans l’atmosphère et ne pourra survivre l’augmentation actuelle vers 450 ppm et au delà. Les niveaux actuelles occasionnnent déjà des dégâts catastrophiques toujours plus fréquents
et intensifs, nous devons absolument inverser la tendance.
L’extinction de masse de la biosphère actuelle menace les écosystèmes dont nous somme dependants pour notre survie.
La mainmise du capitalisme néolibéral sur nos vies et nos sociétés fonctionne désormais surtout en détruisant les liens et systèmes democratiques et sociaux mis en place après la Seconde Guerre Mondiale. Son besoin de toujours plus de croissance fait qu’il il se radicalise, exigeant toujours plus de profits et de rendements. Quitte à casser la démocratie et d’installer le fascisme à sa place, comme par le passé.
Ce système basé sur la seul valeur du profit est incapable de se reformer et doit être abolie pour être remplacé par un véritable système démocratique et socialiste.

Dans l’immédiat il faut stopper la destruction de nos services publics, la redistribution de nos richesses vers le haut, le déni de démocratie du président Macron et de ses gouvernements. Il faut bloquer le budget Bayrou, faire tomber le gouvernement et le président, et empêcher l’arrivée de l’extrême droite au pouvoir. Il faut rééquilibrer le es comptes de l’état en taxant les ultrariches et les grands groupes. Il faut assurer les systèmes sociaux en demandant à chacun de contribuer son du et de ne pas transférer de l’argent des caisses sociales à d’autres fins.
Il faut instaurer des mesures d’urgence pour lutter contre la catastrophe climatique, sans faire porter le coût et les conséquences uniquement sur les classes moyennes et ouvrières.
A moyen terme il faut une assemblée constituante afin de réécrire la constitution, et empêcher la mainmise des ultrariches, des banques et des grandes groupes de mettre leur main sur l’état et ses institutions. Il faut un système qui n’est pas soumis au profit comme seule valeur. Il faut une vraie démocratie, une vraie participation de tous aux richesses crées et aux efforts nécessaires, une société pour et avec chacune et chacun.