Monsieur le Président, Je (…)

Monsieur le Président,
Je souhaiterais votre démission pour apaiser le pays. Nommer Sébastien Lenornu est la continuité de la politique menée : une impasse.
Nous avons besoin d’un plan ambitieux sur la réduction des inégalités sociales et territoriales. Taxer les plus riches de notre pays, mettre à contribution les grandes entreprises, car ce sont toujours les mêmes personnes qui sont mises à contribution.

Je souhaite l’organisation d’une grande consultation citoyenne pour le climat à l’échelle de la France. Et mettre en place un plan ambitieux voté par les citoyen(ne)s pour la bifurcation écologique : créatrice d’emplois qui nous assure un avenir durable équitable : protection du vivant, agriculture bio paysanne, alimentation bio locale accessible, développement de la mobilité douce et des transports en commun, rénovation thermique des logements…

Renforcer nos services publics. Former, intégrer, régulariser de jeunes exilés pour avoir un nombre de cotisants suffisant. Stopper la privatisation pour que nos acquis sociaux : retraite, sécurité sociale… soient maintenus et améliorés. : revenu minimum universel pour vivre et ne pas survivre, réduction du temps de travail pour profiter de nos proches, de la nature, participer à la vie citoyenne, retraite à 60 ans…

Travailler sur l’intégration par une réelle mixité sociale dans tous les territoires : logement (pas de communautarisme dans les mêmes quartiers), école réellement obligatoire (stop à l’école privée, pas de dérogation à la carte scolaire), travail (filière d’apprentissage langue-métier dans les secteurs qui ont besoin de main-d’œuvre), stage de citoyenneté pour apprendre la culture et la langue dans les associations qui ont besoin de bénévoles…

Nous avons besoin d’une démocratie directe pour que les citoyen(ne)s puissent prendre part aux décisions. Vote obligatoire et référendum régulier.

Attention aux dérives sécuritaires, nous voulons de la police de proximité qui fait de la médiation, pas d’une police armée jusqu’aux dents qui terrorise, martyrise notre peuple.

Le pouvoir au peuple.
Monsieur le Président, votre politique est contre le peuple, contre le climat, il est temps de penser à démissionner car le peuple vous y obligera à partir du 10 septembre.

Veuillez agréer mes sincères salutations.